Le village de Haut-Ittre doit son nom à sa position en amont d'Ittre ou Bas-Ittre. Ce nom se trouve successivement écrit : Hate Ytene? (1256) ; Hault Ytterne (1302) ; Hault Ytre (1432) ; Hault-Yttre (1434, 1502) ; Haut-Ittre (1773) ; en latin : Alta Ittra (1410), ou Alta Yttra (1418).
On prononce en wallon Haut Itte.
La commune de Haut-Ittre est limitrophe de celles de Braine-le-Château, Wauthier-Braine, Ophain, Nivelles et Ittre.
Haut-Ittre est à 3 kilomètres d'Ittre, 4 1|2k. de Wauthier-Braine et d'Ophain, 5 k. de Braine-le-Château, 7 1/2 k. de Nivelles, 26 k. de Bruxelles.
L'église de Haut-Ittre se trouve située par 56 grades 28 de latitude N. et 2 grades 18 de longitude E.
L'altitude du seuil de la porte de l'église est de 110 mètres.
Le cadastre divise le territoire de Haut-Ittre en 3 sections : la section A ou du Billot, la section B ou du Village, la section C ou du Calvaire. Au Ier janvier 1859, ces sections se trouvaient morcelées en 830 parcelles, appartenant à 196 propriétaires, donnant un revenu cadastral de 37,101-47 fr. (sol : 33,278-47; bâtiments : 3.823-00) et ayant une contenance de 615 hectares 22 ares 42 centiares (imposable : 602 hect. 79 a. 43 ca. ; non imposable : 12 hect. 42 a. 99 ca.).
Cette contenance globale se subdivisait ainsi en 1834:
On comptait à Haut-Ittre, en 1486, ... foyers (voir Braine-le-Château) ; en 1856, 133 maisons.
Le village de Haut-Ittre, qui compte 78 maisons ; le Billot, 12 maisons ; la Bruyère de Haut-Ittre, 43 maisons.
Haut-Ittre est situé vers le centre du territoire ; le principal groupe d'habitations s'étend au N. de l'église, sur le versant droit de la vallée du Ri Ternel.
Le Billot, qui se trouve à 1,500 m. O.-N.-O. de l'église, constitue l'extrémité occidentale d'un hameau dont la plus grande partie appartient aux communes d'Ittre et de Braine-le-Château.
La Bruyère de Haut-Ittre occupe un emplacement élevé, à 1,300 m. N.-O. de l'église, près de la grand-route de Hal à Nivelles ; elle forme, en quelque sorte, le prolongement du hameau du Billot.
A 800 mètres N.-N.-E. de l'église la Brulotte ; à 2,600 m. S.-E., le Moulin Rayez ; à 1,600 m. S.-E., le Croly ; à 1,000 m. S.-E., la Ferme de la Houssière ; à 800 m. S.-E., la Ferme du Pré ; à 2,600 m. S.-S.-E., la Ferme Smette ; à 500 m. S.-S.-E., le Mambour ; à 900 m. O., la Maison Painblanc ; à 1,000 m.O., le Moulin Férier ; à 700 m. O.-N.-O., la Ferme de la Tour Herman ; à 1,300 m. N.-O., la Ferme de Cocriamont ou Coquiamont (Corriaumont, 1502 ; Cocquereaumont, 1654) ; à 1,600 m. N.-O., la Maison Dechef ; à 1,700 m. N.-O., la Longue Semaine ; à 600 m. N.-N.-O., la Ferme du Mortier ; à 1,300 m. N.-N.-O., la Guête.
Bruyère du Sacrement ; A la Bergnée? ; Vingt bonniers d'Orival ; Clocher ; Fond des Mais ; Douaire ; Champ de la Dîme ; Asquelin ; les Saules ; Champ Caillou ; Champ des Pauvres ; Champ du Fiévet ; Rocaille ; Plat Pâchis ; Champ Colau ; Vertes Vallées ; Daelman ; Seize bonniers ; Champ de la Croisette ; Moulin de Haut-Ittre ; Derrière le Moulin ; Trouvesse ; Campagne Grand'Mère ; les Aunes ; les Ridias ; Renier Haie ; Campagne du Chemin du Vivier ; Trois bonniers d'Orival ; Le long du Ruisseau ; Quatre bonniers de la Houssière ; les Warechais ( Warissaix d'Haut-Ittre, 1767) ; Long Buissart ; Vis-à-vis Bois-Seigneur-Isaac ; Calvaire ou Bon Dieu qui croque ; Rue Haute ; Pré des Mottes ; la Communette ; Rue del Val ; Vert Chemin ; Rue Ternia ; le Cabeau (le Cableau, 1753; maison dite le Cabau, 1654) ; Avenue Plasman ; Brain de Chien ; Chemin du Clerc ; le Patriote ; Sentier Jean Lefort ; Chemin de Saint-Laurent ; Sentier Morlet ; Grange à la Dîme ; la Blanche (la Blanche Maison, 1654) ; Au Lion ; Tilleul de la Chapelle du Poirier ; Chapelle du Poirier ; Chapelle de la Blanche ou N.-D de Bon Secours ; Chapelle N.-D. de Hal.
Champ de l'Epine ( 1502) ; Pret du Masson, Jardin le Romont (1654) ; Lambiersart (1432 ); Ghinchinsart (1502) ; Territorium veterum sartorum (1256) ; fief Bary (1432) ; fief de la Haye ( 1502) ; Rois Arnoul, Bois du Mortier, Bois de Clabecq, Rond Bosquet ( 1502) ; Cense du Petit Bois de Nivelles ou maison dite le Bos de Nivelles (1502) ; Cense Delvaux (1654, 1753) ; Cense dite la Fontaine, Rue aux Cailloux (1753) ; Grande Bruyère de Haut-Ittre, Bruyère dite la Brulotte (1767) ; Aulnois, Notre-Dame, jardin dit Notre-Dame (1787).
Le terrain est peu mouvementé et on ne rencontre pas de pentes rapides ; le sol est assez fertile. Le point culminant est à la Guête. Le système bruxellien règne sur les deux rives du Ri Ternel. Le système laekenien existe à la partie supérieure des deux versants, mais presque partout il est caché par le limon hesbayen du système diluvien ; il se montre à découvert près du Bon Dieu qui croque. Pendant l'hiver on extrait beaucoup de marne pour les besoins de l'agriculture ; cet amendement se rencontre parfois à la surface du sol, mais le plus souvent il faut le chercher à une profondeur de 40 à 15 mètres.
Tout le territoire de Haut-Ittre appartient au bassin de l'Escaut ; le seul cours d'eau qui arrose celle commune est le Ri Ternel.
Le Ri Ternel vient d'Ophain et forme la limite entre cette commune et celle de Haut-Ittre sur toute la partie supérieure de son cours ; après avoir reçu la source Coret (r. dr.), il abandonne complètement le territoire d'Ophain, et active par une chute de 3 m. 77 le moulin de Haut-Ittre ; il se grossit des eaux de plusieurs sources, parmi lesquelles les plus importantes sont celles du Mortier (r. dr.) et des Poivrettes (r. dr.) ; active par une chute de 3 m. 95 le moulin Férier ; et pénètre enfin sur le territoire d'Ittre.
Son parcours, dirigé du S.-E. au N.-O., a un développement de 2,200 mètres, dont 800 m. mitoyens avec Ophain.
La principale fontaine est celle de Notre-Dame.
On comptait, en 1784, 280 habitants (dans la paroisse, qui comprenait Bois-Seigneur-Isaac avec 155 habitants : 412 personnes) ; en l'an XIII, 370 habitants ; au 31 déc. 1831. 485 habitants; au 31 déc. 1856, 653 hab.
Les registres de l'état-civil remontent à l'année 1675.
Une bonne partie du territoire était jadis couverte de bois et de bruyères, comme on peut en juger par le nom des lieux dits. On en défricha environ 15 bonniers, à la suite d'un accord conclu, en 1773, entre le seigneur et la commune, et on mit encore d'autres champs en culture, après la vente des biens nationaux.
Les grandes exploitations agricoles sont : la Ferme du Mortier (128hect.), tenue par la veuve Bauthier, appartenant à M. Symon-Brunelle ; la Ferme du Pré (84 hect.), tenue par MM. Gailly fr. et s., appartenant à M. Demeester-Dugey ; la Ferme de la Houssière (74 hect.), tenue par la veuve Casterman, appartenant à M. Aug. T'Serslevens ; la Ferme la Blanche (40 hect. en 1856, aujourd'hui 50 hect.), tenue par M. Duchesne (Z.) propriétaire ; la Ferme de Cocriamont (35 hect. en 1856, aujourd'hui 50 hect.), tenue par MM. Lisart fr. et s. propriétaires ; la Ferme Smette (35 hect. en 1856, aujourd’hui 50 hect.), tenue par M. Lisart (J.) propriétaire.
Le nombre des animaux domestiques constaté à Haut-Ittre par les recensements généraux s'élevait à :
Les terres exploitées par les cultivateurs de la commune se répartissaient ainsi :
Ce chiffre total se subdivisait en biens exploités :
L'ancienne verge linéaire a 18 pieds de Hainaut.
Les seules usines de Haut-Ittre sont 3 moulins à grain ayant chacun 3 couples de meules: l'un d'eux est mû par le vent, il est construit en briques ; les deux autres sont activés chacun par une roue hydraulique. Les deux moulins à eau ont été établis en vertu d'autorisations accordées, l'une au mois de fructidor an VIII, à Jean-Martin Langhendries ; l'autre, le 14 septembre 1837, à Charles-Louis Ferrier ; le moulin à vent, en vertu d'une autorisation du 25 février 1847, en faveur de M. Rayée.
Anciennement, il n'y avait pas d'usine à Haut-Ittre ; les habitants étaient assujettis à envoyer leurs grains au moulin seigneurial de Braine-le-Château. Une grande partie des ouvriers émigrent en été.
La route de Hal à Nivelles longe le territoire de la commune sur 400 mètres, et le traverse sur 2,000 m. On compte 24 chemins vicinaux et 33 sentiers, mesurant ensemble 34,453 m., dont 1,667 m. étaient pavés au 31 décembre 1859.
Le chemin de grande communication n° 11 traverse la commune sur 1,460 mètres ; le chemin n° 10 la longe sur 742 m.
Haut-Ittre faisait partie de la seigneurie de Braine-le-Château. Comme ce dernier village, il ressortissait au comté de Hainaut et à celle de ses subdivisions qui portait le nom de chapellenie de Braine-le-Comte. En l'an III de la république, il fut compris dans le canton de Braine-l'Alleu, puis, en l'an X, annexé au deuxième canton de justice de paix de Nivelles.
Suivant un tableau officiel qui fut rédigé en l'an VIII, Haut-Ittre et Bois-Seigneur-Isaac désiraient alors ne former qu'une seule commune, mais ce vœu, qui se basait sur d'anciennes relations, ne fut pas exaucé. Quand on supprima la commune de Bois-Seigneur-Isaac, ce fut à celle d'Ophain qu'on la réunit.
Haut-Ittre n'avait d'autre tribunal échevinal que celui de Braine-le-Château, et l'on y suivait la coutume de Mons. Ainsi qu'à Braine, le comte de Hainaut n'y avait, outre la souveraineté et les régales, d'autre droit qu'une taxe fixe, imposée à titre de gîtes et de fouage des terres. La localité ne constitua en réalité une commune distincte qu'à partir de l'an III.
Le budget de la commune, pour 1859, présente les chiffres suivants :
Une transaction conclue, en 1767, entre les communes de Braine-le Château et Haut-Ittre d une part, et le prince de la Tour et Taxis d'autre part, a assuré à Haut-Ittre la propriété des bruyères dites Bruyères du Sacrement, Grande Bruyère de Haut-Ittre, la Brulotte, Waressaix d'Haut-Ittre et Communette d'Haut-Ittre, le tout comprenant environ 15 bonniers ; un septième du produit de ces terrains, que l’on mit alors en culture, fut à celte époque réservé au prince, qui, en 1824, y renonça, et de son côté acquit un petit waressaix voisin de la ferme de la Houssière.
De même qu'à Braine, le chapitre de Sainte-Waudru de Mons, seigneur primitif, n'avait conservé à Haut-Ittre que peu de biens : le patronat de l'église, la grande dîme, une grange et 14 bonniers de terres, la moitié de quelques bois et des bruyères. Les prérogatives du véritable seigneur étaient les mêmes à Haut-Ittre qu'à Braine, el il y comptait parmi ses biens les fermes de la Houssière et de Fontaine. La première de celles-ci appartint d'abord à des seigneurs qui en portaient le nom, et qui, au XIVe siècle, possédaient à Ophain un plein fief relevant de la cour féodale de ce village ; anciennement elle devait, ainsi que les dépendances consistant en 30 bonniers de terres et 4 bonniers de prés et d'aulnois, un cens de 62 sous aux sires de Braine-le-Château. La dernière, de laquelle dépendaient 14 à 15 bonniers de terres, situées près de Hève (ou d'Eve sur Ittre), fut réunie à la seigneurie, par suite d'un décret à charge de Mme de Campan. Les seigneurs de Braine-le-Château eurent à Haut-Ittre une maison dite le Gardin, dont on évaluait le produit en 1502 à 12 muids de seigle.
De la cour féodale de la seigneurie ressortissaient : la seigneurie du Mortier ; 7 bonniers de bois et de pâturages à Ghinchinsart ou Chinchinsart, près des bois de Lare et du Mortier ; 3 bonniers de bois, dits Bois Amoul, voisinsdesboisde Ghinchinsart, de Lare et du Mortier ; un bois de 14 bonniers dit le Bois Clabecq, la cense du Pré, le fief de la Haye, 5 bonniers de terres et de prés, 5 journaux de terres.
La seigneurie du Mortier consistait en une maison avec dépendances et environ trente bonniers, cinq hommages ou arrières-fiefs, notamment la maison de Corriaumont, quelques tenures censales produisant par an 12 muids de seigle, 15 chapons, 1 poule, 3 vieux gros, 46 sous tournois, 32 philippus de Brabant (à 8 deniers) et 9 mailles tournois. Le seigneur de Braine était tenu de prêter au possesseur de ce fief « des gens de loi, touttes et quantes fois il était nécessaire de les droiturer».
Henri et Amoul dou Mortier figurent, en 1309, parmi les vassaux du seigneur de Braine. En 1502, Jean des Alas, dit Seignoural, possédait le fief du Mortier, qui passa ensuite aux sires de Hosden, puis, par achat, au collège de la Belle-Notre-Dame, à Louvain. Le 13 pluviôse an V, la ferme de ce nom fut vendue, moyennant 160.000 livrés, à Michel-Ange Susanne, de Paris.
Arnoul dou Pret était également feudataire du seigneur de Braine, en 1309. Le fief dont il portait le nom comprenait 24 bonniers, situés à proximité de la cense du Gardin et de la maison de la Houssière ; il valait, en 1502, 8 muids de seigle par an. Charles d'Ittre en était alors le propriétaire. Le 28 juin l433, Michel de la Houssière céda à son fils-Jean le fief Bary, nom que l'on donnait à 4 bonniers situés en Lambiersart,« le long de la piessente allant de le Houssière à Nivelles » et qui ne devaient au seigneur de Braine que 60 sous blancs pour relief. Le prieuré de Bois-Seigneur-Isaac en fit depuis l'acquisition.
L'église de Saint-Laurent à Haut-Ittre dépendait anciennement de l'évêché de Cambrai et du doyenné de Hal ; selon toute apparence, ce n'était primitivement qu'une annexe de Braine-le-Château. Lors du concordat, on la comprit dans le diocèse de Malines, et elle devint une succursale de la cure de Braine-l'Alleu, sous le vocable de Saint-Rombaud à Haut-Ittre et Bois-Isaac, vocable qu'elle n'a pas conservé. Le hameau de Bois-Seigneur-Isaac, qui, au civil comme au spirituel, dépend aujourd'hui d'Ophain, faisait jadis partie de la paroisse de Haut-Ittre.
La cure était à la collation du chapitre de Sainte-Waudru, qui lui abandonnait deux neuvièmes de la grande dîme et un tiers de la menue dîme. Le curé prélevait en entier quelques portions de la dîme, notamment sur ce qu'on appelait le tour de la procession Saint-Laurent, d'une étendue de 4 bonniers environ. Ses fonctions lui valaient, en 1787, 869 florins 1 patard, et il recevait en outre les revenus de la chapellenie de Notre-Dame, qui a été annexée à la cure, à charge de célébrer tous les samedis une messe de Beatà.
Ces revenus s'élevaient à 113 florins et provenaient en partie de 7 bonniers 3 journaux de terres, d'un bonnier et demi dit l’Aulnois-Notre-Dame, et d'un jardin. Les revenus de la fabrique s'élevaient jadis à 325 florins et provenaient en partie du revenu de 4 bonniers 3 journaux ; ils montent actuellement à 1,019 francs.
L'église affecte la forme d'une croix latine ; elle paraît assez ancienne, mais de nombreuses restaurations en ont modifié l'ornementation. Le chœur est recouvert d'une voûte cintrée et éclairée par deux fenêtres ogivales. Le transept droit se termine par une abside à trois pans, dont une des fenêtres est décorée de meneaux flamboyants ; le transept gauche est à mur terminal plat ; la voûte en est à nervures croisées et l'arcade qui s'ouvre vers la nef est en ogive. Au chalcidique, ce sont des arcs en ogive retombant sur d'énormes pieds-droits, qui supportent la voûte à nervures croisées sur lesquelles repose la tour: cette dernière est carrée et surmontée d'une flèche ; elle doit dater d'une époque assez reculée, à en juger par les petites baies en plein cintre qui en décorent chaque face, et par l'usure des pierres de marne dont se compose la maçonnerie. La nef n'offre que deux travées, entre lesquelles se trouve de chaque côté une colonne cylindrique. à chapiteau octogonal, supportant des arcades en cintre surbaissé. La nef et ses collatéraux ne sont que plafonnés ; ils reçoivent le jour par des fenêtres ogivales, qui, à droite, s'élèvent en pignon au-dessus du bord du toit. De ce côté et à la façade, les murs de l'édifice ont été reconstruits en briques.
Le modeste temple de Haut-Ittre renferme une jolie chaire du style renaissance ; on en a malencontreusement enlevé un des panneaux lorsqu'on a déplacé la chaire, qui se trouvait jadis à l'entrée du chœur.
Citons encore un Saint-Jérôme étudiant devant une tète de mort, tableau provenant, du prieuré de Bois-Seigneur-Isaac, et don de M. le baron Snoy. Les autels latéraux sont dédiés à la Vierge et à Saint-Eloi. Dans le clocher se trouvent deux cloches, qui ont été placées, l'une en 1810, l'autre en 1844.
Le presbytère date de 1831.
Le revenu du bureau de bienfaisance s'élevait, en 1787, à 19 florins 11 sous 1 denier, 6 muids 2 rasières et 1 quartaut de grains.
Le budget du bureau de bienfaisance pour l'année 1859 a été fixé comme suit :
Le nombre d'enfants pauvres qui ont été admis par la commune, en 1858-1859, à recevoir l'instruction s'est élevé à 92 : 47 garçons et 45 filles.
La fête communale se célèbre le dimanche après le 10 août, jour de Saint-Laurent.
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